La littérature dans les programmes





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Animation pédagogique du 22 mars 2006

ACTIVITÉS DE LECTURE/ÉCRITURE
À PARTIR DE LA LITTÉRATURE DE
JEUNESSE

Maryline CORTES – École Marcel Pagnol

SOMMAIRE
INTRODUCTION …………………………………………………………………………………………………… 4

ENSEIGNER LA LITTÉRATURE, QUELS ENJEUX ? ……………………………………… 6

  1. Enjeu culturel ……………………………………………………………………………………………… 6

  2. Enjeu de valeurs …………………………………………………………………………………………… 6

  3. Enjeu de construction de la personne ……………………………………………………… 7

  4. Enjeu pour la littérature elle-même ………………………………………………………… 7

  5. Enjeu de construction des savoirs et de compétences en lecture

et écriture………………………………………………………………………………………………………… 8

LA LITTÉRATURE DANS LES PROGRAMMES ………………………………………………… 9

  1. Programmes de 1995 …………………………………………………………………………………… 9

  2. Nouveaux programmes de 2002 ………………………………………………………………… 9

  3. Document d’application…………………………………………………………………………………… 10

  4. Compétences à construire chez l’élève et compétences du maître

à mettre en œuvre ………………………………………………………………………………………… 11
LA LISTE D’ŒUVRES LITTÉRAIRES ………………………………………………………………… 15

  1. Regard sur la liste : aide ou carcan ? ………………………………………………………… 15

  2. Caractéristiques de la liste …………………………………………………………………………… 15

  3. Construire une programmation ……………………………………………………………………… 16


LES ANIMATIONS LECTURE ………………………………………………………………………………… 18

  1. Qu’est-ce qu’une animation lecture ? …………………………………………………………… 18

  2. Des exemples d’animations lecture ……………………………………………………………… 19


LE CARNET DE LECTURE ………………………………………………………………………………………… 27

LA MISE EN RÉSEAU D’ŒUVRES ………………………………………………………………………… 29

  1. Qu’est-ce que la mise en réseau ? ………………………………………………………………… 29

  2. Modalités …………………………………………………………………………………………………………… 29


LA LECTURE D’UNE ŒUVRE LITTÉRAIRE ………………………………………………………… 31

  1. Choisir une œuvre et définir les objectifs du parcours de lecture ……… 31

  2. Construire un parcours dans l’œuvre : les modalités ……………………………… 31

  3. Construire un parcours dans l’œuvre : des activités possibles………………… 33

LES ACTIVITÉS D’ÉCRITURE ………………………………………………………………………………… 39
LES ATELIERS DE LECTURE ………………………………………………………………………………… 41

  1. Finalités …………………………………………………………………………………………………………… 41

  2. Modalités ………………………………………………………………………………………………………… 41

  3. Quelques pistes pour les ateliers de lecture ……………………………………………


DES EXEMPLES DE PARCOURS DANS UNE ŒUVRE ……………………………………… 45

  1. Un roman policier : « Ippon » de Jean Hugues Oppel …………………………… 45

  2. Un album : « Une histoire à quatre voix » d’Anthony Browne ……………… 48

  3. Un poème : « Liberté » de Paul Eluard ……………………………………………………… 50


RÉFÉRENCES BILIOGRAPHIQUES ET SITES À CONSULTER ……………………… 52

INTRODUCTION

Les nouveaux programmes de 2002 marquent le passage d’un enseignement de la lecture s’appuyant entre autres sur la littérature à un enseignement de la littérature en tant que telle. La littérature n’est donc plus considérée seulement comme un moyen d’acquérir des compétences de langue et de langage. Elle devient un objectif en soi.

Les textes officiels ont donc enfin relayé la recherche en didactique qui depuis longtemps considère que la lecture littéraire doit faire l’objet d’un véritable enseignement.
On a pendant longtemps réduit l’enseignement de la littérature à celui du texte, l’extrait restant le support essentiel de l’apprentissage de la lecture.

Même si les livres ont toujours été présents à l’école, ils ont la plupart du temps été mis à disposition des élèves sans médiation réelle et sans mise en place des savoirs que suppose la pratique littéraire.

Enfin, il semble évident que les manuels constitués « d’extraits choisis » ne peuvent apporter qu’une approche tronquée de la littérature.
La littérature de jeunesse est entrée dans les classes dans les années 70 mais on a rapidement constaté que l’enrichissement de l’offre de lecture et même les animations autour des livres ne suffisaient pas à améliorer le comportement des jeunes face aux œuvres littéraires

Il a fallu vingt ans pour qu’on comprenne la nécessité d’installer des savoirs et des savoir-faire sur la littérature, pour qu’on définisse les compétences à acquérir pour accéder au goût, au plaisir de lire.
En 1989, le rapport du recteur Migeon préconise pour la première fois l’entrée de la littérature de jeunesse à l’école. Une liste de 300 ouvrages sélectionnés par des spécialistes de littérature de jeunesse est mise en expérimentation dans les classes selon des modalités différentes (avec ou sans animation, avec ou sans formation).

Cette liste est augmentée chaque année de nouveaux titres et le répertoire regroupant toutes les listes antérieures s’intitule aujourd’hui 1001 livres pour les écoles.
A partir de 1995, les programmes donnent à la littérature une place reconnue dans les enseignements de l’école.

Cependant, si le discours ministériel énonce la nécessité d’installer chez les élèves non seulement une pratique de la lecture mais encore des savoirs sur la littérature, il reste extrêmement évasif sur les moyens d’y parvenir.
De plus, la plupart des maîtres (peu formés, il est vrai) préfèrent s’en tenir à des objectifs de partage et de familiarisation craignant que des activités trop structurantes ne viennent altérer le plaisir de lire.
Or, on sait aujourd’hui qu’il est également indispensable de mettre en place très tôt des savoirs sur la littérature et sur le texte littéraire (comme le font couramment les enseignants de cycle 1 avec les albums).

La découverte du plaisir de lire n’est-elle pas d’ailleurs étroitement liée au confort que l’enfant éprouve dans la lecture de l’œuvre littéraire dès lors qu’il détient la maîtrise d’un certain nombre de compétences ?

Si dans les milieux favorables, ces savoirs peuvent être acquis par l’échange au sein de la famille, pour les élèves moins favorisés, l’école a un rôle important à jouer en apportant des savoirs solides et conscients (par l’analyse des textes) qui contribueront à l’acquisition du goût de lire.
Au cycle 3, la mission donnée aux maîtres de préparer les élèves à l’enseignement du collège renforce encore la nécessité d’installer des savoirs sur la littérature et le texte littéraire.

Pourtant les textes officiels maintiennent un clivage fort entre les pratiques du primaire et du secondaire (école : acquisition du goût de lire ; collège : savoirs structurels, exercices formels, « explication de texte »…).

Or, les enseignants de collège regrettent le manque de préparation des élèves de cycle 3 à l’analyse des textes littéraires.

ENSEIGNER LA LITTERATURE : QUELS ENJEUX ?

L’enseignement de la littérature doit répondre à deux objectifs principaux :

  • donner à tous un socle culturel commun : le patrimoine littéraire ;

  • donner à tous le goût, le plaisir de lire.


Si ces deux objectifs obéissent à une volonté généreuse de « faire entrer tous les élèves en littérature », il reste à définir les enjeux d’un tel enseignement.



  1. Enjeu culturel


La littérature constitue une des voies d’accès à la culture générale.

Elle offre par la médiation du langage et de l’imaginaire un formidable espace d’appropriation de connaissances sur la vie, sur les hommes, sur le monde.
Elle contribue à permettre à chacun de définir ses choix, ses goûts, ses préférences.
Par sa forme et son caractère purement langagier mais aussi parce qu’il est le plus souvent fictionnel, le livre offre un espace à l’imaginaire dans un monde dominé par l’image et axé sur la réalité.

En quelque sorte, la littérature a pour mission de « contrer la culture de masse ».
L’accès au livre et au goût de lire représente un enjeu fort de l’école : offrir l’accès à la culture de qualité.



  1. Enjeu de valeurs


La littérature permet de se confronter à l’expérience d’autrui, aux expériences sociales. Elle met le lecteur face à des choix, à des valeurs.
Dans une histoire, l’enfant suit le parcours de personnages qui vont avoir des attitudes diverses face à une situation ce qui va l’amener à :


  • éprouver de la sympathie ou de l’antipathie pour un personnage et par là même comprendre les valeurs en jeu dans le texte et porter un jugement sur ces valeurs ;

  • vivre des situations par le biais de parcours imaginaires qui lui permettront d’opérer un décentrement critique (par exemple, se dire ce que le vécu réel interdit de formuler ...) ;

  • accéder grâce à l’image qui accompagne parfois le texte (album, B.D.,recueil illustré) au monde des valeurs sans passer par le langage qui pour certains fait défaut.



  1. Enjeu de construction de la personne


La littérature permet à l’enfant :


  • d’ explorer des situations variées que la vie ne lui pas ou pas encore permis de rencontrer ;

  • de s’identifier à un personnage pour approfondir sa propre expérience ;

  • de nommer un vécu, un ressenti, une expérience (la mort, les accidents de la vie…)  en trouvant dans le texte les mots qu’il ne possède pas ou qu’il ne peut pas formuler ;

  • d’objectiver son vécu par la médiation des mots ou des situations vécues par les personnages ( par exemple, le rassurer face à ce qu’il cache aux autres : ses peurs, ses angoisses…) ;

  • de nourrir son imaginaire, créer ses propres images à partir des mots.



  1. Enjeu pour la littérature elle-même


Une des missions de l’école est d’amener l’enfant vers les livres , de lui faire connaître la diversité des collections, des genres, des ouvrages et de lui permettre de faire des choix dans cette diversité.
Car si l’édition française propose une profusion d’ouvrages de littérature de jeunesse, tous les livres ne se valent pas.
Pour former des lecteurs à long terme l’école doit donner aux élèves une culture suffisamment solide pour que leur appétit de lire trouve à se satisfaire dans des ouvrages toujours capables de les surprendre, de les passionner, avec lesquels ils puissent entrer en écho sans se lasser.
Pour apprendre aux enfants à explorer de manière autonome et efficace le champ de l’édition, il faut un guidage précoce et continu.


  1. Enjeu de construction des savoirs et de compétences en lecture et écriture


La littérature est un objet de savoirs en elle-même. Elle nécessite une appropriation qui le plus souvent ne se fait qu’à l’école.
L’école doit aider les enfants et surtout ceux qui ne bénéficient d’aucun accompagnement en dehors de l’école à acquérir un certain nombre de savoirs sur le domaine littéraire en général :


  • distinguer textes littéraires et textes non-littéraires ;

  • distinguer textes narratifs littéraires et textes narratifs non-littéraires ;

  • se repérer dans une bibliothèque ou une B.C.D. (classement) ;

  • repérer la structure du texte littéraire et ses caractéristiques langagières ;

  • connaître les principaux genres littéraires ;

  • situer une œuvre dans son ensemble (genre, auteur, époque…) ;

  • déceler l’implicite d’un texte (plan social, humain, moral, philosophique, politique…).


Par ailleurs, du fait de la richesse des formes qu’elle produit, des situations, des structures narratives qu’elle imagine, des inventions langagières qu’elle crée, la littérature constitue un réservoir inépuisable pour consolider les compétences de lecture et d’écriture des élèves.

LA LITTERATURE DANS LES PROGRAMMES



  1. Programmes de 1995


Au cycle 2, la littérature de jeunesse constitue simplement un réservoir de textes propres à construire chez les élèves des compétences de lecture en général.
Au cycle 3, l’objectif est le développement des compétences de compréhension et d’interprétation des textes (questions, reformulations, discussions) auxquels s’ajoutent une ambition d’ordre culturel (extraits de textes, œuvres complètes choisis pour leur complexité ou pour les émotions qu’ils peuvent susciter).

La littérature reste encore essentiellement un support de l’enseignement de la lecture.
Les préconisations relatives à la mise en œuvre sont très imprécises. Elles mettent en garde contre une appropriation trop technique des textes littéraires et proposent plutôt d’aller du partage des émotions vers une prise de conscience que l’écriture peut produire des effets puissants.

La lecture d’ouvrages de littérature se résume à celles de « bonnes pages », le reste étant pris en charge par le maître.



  1. Nouveaux programmes de 2002


Ils changent totalement de perspective et désignent la littérature comme champ culturel à enseigner.

La littérature relève désormais d’un socle culturel fondamental auquel participent également l’apprentissage de la langue française, les langues étrangères ou régionales, l’histoire et la géographie.
Cependant, on retrouve la même méfiance qu’en 1995 face à l’idée d’enseignement/ apprentissage de l’espace de la littérature ( on parle essentiellement d’imprégnation par la lecture, orale et écrite et par l’écriture).
Quel est alors le rôle de l’enseignant si ce n’est donner des textes à lire ?

Si médiation du maître il doit y avoir, comment ce dernier doit-il s’y prendre ?
Comme en 1995, la littérature semble constituer un champ culturel qui ne s’enseigne pas.

  1. Document d’application


Le document d’application développe largement ce champ disciplinaire qui tient en un paragraphe dans les nouveaux programmes.

La littérature fait l’objet d’un document particulier alors qu’elle était précédemment abordée à l’intérieur d’un discours plus général sur la lecture.

La littérature devient un objet d’enseignement à part entière.
Construction d’une culture littéraire : le maître propose des lectures d’œuvres littéraires nombreuses et variées de manière à faire créer des réseaux, mettre les livres en relation les uns avec les autres, agréger les nouvelles lectures aux anciennes. Ces œuvres sont à choisir en majorité dans la liste.
Mise en œuvre de séquences de littérature :

  • La lecture des œuvres : pas d’explication de texte mais appropriation des textes par la lecture (lecture par le maître, lecture par l’élève, lecture silencieuse, résumé des passages lus).

  • La compréhension : rappel de ce qui a été lu et anticipation, mise en place de discussions collectives visant à corriger les erreurs de compréhension, interventions du maître pour apporter des éclaircissements.

  • Les images : dans la BD et l’album, travail sur l’ensemble texte/image.

  • L’interprétation des textes : elle s’exerce en interaction avec le vécu et la culture de l’élève. Le débat met à jour les écarts d’interprétation entre les enfants.


La mise en réseau des textes : ajouter de nouvelles références à celles que l’on possède déjà de manière à créer des relations mentales par genres, types de personnages, auteurs…

Nécessité donc de programmer les lectures dans la durée du cycle.
La mise en voix des textes : la lecture à haute voix, la récitation d’un passage ou d’un texte poétique, la mise en scène d’oeuvres théâtrales supposent que le texte ait été lu et interprété.
De la lecture à l’écriture : « s’appuyer sur un texte lu pour entrer en écriture ». Il y aura donc mise en valeur des procédés d’écriture de l’auteur pour écrire soi-même. Pour l’écriture poétique, on écrira à partir « d’inducteurs ».
Les lectures personnelles : mise à disposition d’ouvrages et guidage dans les choix ; mise en place d’échanges entre élèves pour créer un partage littéraire et culturel.

  1. Compétences à construire chez l’élève et compétences du maître à mettre en œuvre



Rendre l’élève capable de :

Rôle du maître et dispositifs pédagogiques

Mettre ses lectures en réseau pour enrichir sa culture littéraire :
 Agréger ses nouvelles lectures aux anciennes pour enrichir sa culture littéraire.
 Construire un réseau d’œuvres.

 Garder en mémoire les textes lus.


 Mettre en relation son expérience personnelle des textes et du monde et les organiser en systèmes.


  • choisir les œuvres parmi celles de la liste et élaborer un trajet de lecture.




  • programmer les lectures des élèves tout au long du cycle de manière à construire des mises en réseaux pertinentes.




  • faire des rapprochements entre les textes lus

  • mettre en place le carnet de lecture




  • faire expliciter les relations d’un texte à l’autre en utilisant des schémas ou des organigrammes




Partager sa culture littéraire :
 Echanger sur les valeurs esthétiques et morales.

 Echanger sur les enjeux de ce qu’on a lu.

 Faire découvrir un texte littéraire aux autres par la lecture à haute voix.
 Porter un regard critique sur l’œuvre .



  • accompagner l’élève dans la rencontres des valeurs esthétiques (rapport avec la beauté et l’art) et morales (valeurs le plus souvent implicites, incarnées par les personnages) présentes dans toute œuvre littéraire.




  • organiser des débats littéraires pour faire confronter les interprétations des enfants et à travers elles leur positionnement personnel.




  • travailler et préparer la lecture à haute voix pour qu’elle devienne un outil d’interprétation et d’échange.




  • mettre en place et animer des débats littéraires.




Comprendre et interpréter des œuvres littéraires :
 Comprendre le texte par-delà les obstacles de langue ou de culture.

 Prendre conscience des savoirs implicites sur les formes littéraires.

 Comprendre et interpréter les ensembles texte/image.


 Construire des suites narratives cohérentes et pertinentes par rapport au texte lu.

 Interpréter le texte littéraire et confronter les différentes interprétations.


 Donner à la lecture à haute voix une dimension interprétative.

 Réciter un texte appris par cœur.
 Ecrire à partir d’un texte littéraire avec ou sans contrainte d’écriture.


 Saisir les procédés de l’auteur pour produire tel ou tel effet.

Organiser des séquences de littérature construites et réfléchies autour des œuvres qui devront prendre en compte à la fois la spécificité de l’œuvre mais aussi les objectifs d’apprentissage chez les élèves ;


  • déceler les causes des difficultés de compréhension des élèves : manque de maîtrise de la langue ou représentations erronées pour mettre en place d’éventuels ateliers de lecture.




  • assurer la compréhension en structurant moments de lecture, phases de rappel et d’anticipation ;




  • établir un équilibre entre ce qui doit impérativement être élucidé pour que le texte soit compris et ce qui peut rester dans l’ombre (éviter les explications trop formelles ou portant sur des points mineurs du texte) ;




  • faire passer à une perception consciente des savoirs sur les formes littéraires (trame narrative schématisée, perception de la manière dont le langage symbolique crée des images en poésie…) ;



  • installer la capacité à mettre en relation le texte et les images pour dégager le sens ;



  • faire travailler l’anticipation en montrant qu’inventer une suite nécessite de prendre en compte les contraintes liées à la « logique narrative » si l’on veut conserver le sens ;




  • organiser des débats interprétatifs ;

  • faire percevoir comment se constitue le sens sans imposer une signification unique ;




  • choisir et organiser les moments de mise en voix des textes ;

  • préparer les lectures à haute voix (à mettre en relation avec le travail d’élucidation du sens ;




  • faire travailler la diction des textes.




  • accompagner l’entrée en écriture, nourrir le travail d’écriture, choisir les ancrages à l’écriture, articuler texte écrit par les élèves et œuvre lue ;




  • Eclairer les effets de style, faire découvrir les procédés d’écriture, les choix des auteurs qui vont permettre de créer un effet chez le lecteur, d’agir sur lui ;






Devenir lecteur de littérature :


 Entrer en littérature en devenant un lecteur autonome et passionné.




Conduire tous les élèves vers des lectures personnelles choisies et partagées :


  • animations de lecture,

  • débats littéraires,

  • carnet de lecture…
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