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LA PREPARATION DU RESUME La contraction d’un texte exige un travail qui se fait en plusieurs étapes :
LE PLAN La recherche du plan est une étape obligatoire avant la rédaction de la contraction elle-même. Le plan opère sur le texte une première réduction, fournie par un canevas qui permet ensuite l’établissement du résumé. Il met en évidence : la logique du texte (par une étude du mot de liaison), le contenu du texte (par une recherche de mots clés). Le plan est une première forme de contraction : en effet, il découpe le texte, et il distingue donc l’essentiel de l’accessoire, et il formule le texte, par les titres qu’il donne aux parties et aux sous-parties. PLAN DU TEXTE (SCHEMA DU TEXTE) INTRODUCTION L’écrivain réalise, donne une vision de la réalité. Il opère un choix car : titre par les § :
Exemple : L’utilisation d’un accident dans une intrigue romanesque (7)
CONCLUSION : L’art réaliste est un art de l’illusion (9) Thèse défendue : Le réaliste nous donne une vision personnelle de la réalité Thèse résumée : le réaliste nous donne une « photographie» de la réalité. DU PLAN AU RESUME La contraction elle-même est un texte rédigé entièrement et qui reprend le plan, mais le transforme en s’aident de ses subdivisions logiques et de sa formulation schématique.
Dans le résumé, il faut :
La contraction conserve une démonstration et non des procédés d’explications. Quatre (04) défauts à éviter :
LA LITTERATURE Qu’est-ce que la littérature Dans le dictionnaire Petit Robert, il est dit que : « la littérature est : les œuvres écrites dans la mesure où elle porte la marque de préoccupations asthétique ». La notion d’écriture et d’auditoire suppose une situation de communication, ce qui nous amène à nous demander quelles sont les différentes formes de la littérature. Les différentes formes et genres de la littérature Pour communiquer un message, le locuteur peut écrire ou le dire. Lorsque le locuteur choisi le canal de l’écriture, on parle de la littérature écrite, et lorsqu’il emploie le canal verbal, c’est la littérature orale.
Au départ, toutes les productions littéraires des sociétés traditionnelles étaient appelées péjoratissement folklore. En effet, on attachait aucune importance aux différentes productions des sociétés traditionnelles qui étaient considérés comme l’arriérées, dépassées, et pas digne qu’on s’y intéresse. Il y’a fallu 1955 pour que le mot ‘’folklore’’ soit remplacé par celui de littérature orale. La littérature représentera donc toutes les productions orales des sociétés traditionnelles qui étaient conservées qui étaient conservées par la mémoire pour être transmise. On y trouve plusieurs sous genre.
Le conte est un récit ludique, merveilleux basé sur une trame romanesques en faisant intervenir divers personnages assument divers rôles. Le conte relève du brofame, il n’est pas le récit d’un fait divers, son but n’est pas le seul divertissement, il transmet un langage allusif, un message implicite où ainés, cadets, enfants, hommes s’y retrouvent. Le conte parce qu’il est du domaine de fixion, permet d’aborder les questions les plus graves. Une fois satisfait les besoins élémentaires, le premier problème que doit affronter une société est celui des rapports entre membres. Il offre à l’auditoire un portrait réaliste non telque la société se vaudrait mais telle qu’elle se connait sans vouloir se l’avouer.
Le mot mythe vient du grec ‘’maltos’’ qui signifie parole, discours. C’est un récit populaire où les personnages ont un caractère divin. L’action prend des tournures surnaturelles et irrationnelles.
Le mot légende drive du bas latin légende qui veut dire chose devant être lue. Il s’agit d’un récit ou l’action merveilleuse se situe avec exactitudes, les personnes étant précis et définis. La légende se fonde sur des faits historiquement vérifiables. Cependant l’imagination collective va déformer les actions en vue de leur donner une tournure extraordinaire. C’est ainsi que les faits les plus insignifiants, anodins, deviennent des actes de grandes bravoures. Exemple : La légende de Soundiata ou de Yennega c- La poésie Poésie vient du mot grec poesis qui signifie création, c’est faire, créer. Art du langage visant à exprimer ou à suggérer par un rythme l’harmonie et l’image. Cette littérature a vu le jour en Afrique au XIXème siècle. Le premier réellement africain est Batouala écrit par René Marrant en 1961 (Antillais). LES GENRES DE LA LITTERATURE 1—le roman Le roman est sans doute le genre le plus représenté et le plus lu, pour des raisons non seulement commerciales mais aussi sociales et culturelles. S’il est facile de l’identifier, il est assez difficile de le définir. C’est le genre très souple, capable d’intégrer d’autres genres à savoir (la poésie, le théâtre etc.), et d’autres domaines. Pour Robert, le roman est une œuvre d’imagination en prose assez longue qui représente et fait vivre dans un milieu donné des personnes données comme réels, nous fait connaitre leur psychologie, leur destin, leur aventure etc. LA POESIE Apparemment, elle semble être le genre le plus pratiqué par les écrivains. Ceux-ci vont l’utiliser pour exprimer leurs sentiments. LA LITTERATURE FRANÇAISE
Les crises révolutionnaires du XVIIIème siècle donnent au XIXème siècle son visage particulier. A travers ces crises, s’imposent à toute l’Europe les valeurs de liberté et d’égalité, en même temps que s’affirme le sentiment d’identité des différentes nationalités. L’idée s’installe que le cours de l’histoire est commandé par une marche vers le progrès. Le mot de socialisme fédère les espoirs et les rêves de ceux qui souhaitaient un progrès général et partagé ; mais le sens qu’on lui donne varie selon les théoriciens. Pour les uns c’est l’association ses citoyens productifs, pour d’autres, le groupement harmonieux des individus équilibrant dans la cellule sociale. Les écrivains, au moins dans la première partie du siecle échappe rarement à la tentation de tenir leur partie dans le concert politique. Leurs œuvres rendent compte des bouleversements moraux et psychologiques des nouvelles visions du monde que suscite la succession des révolutions ; ce qui amène la naissance des mouvements d’idées. Le scientisme qui est une science capable de tout expliquer et de trouver solution à tout ceci s’est gaufré sur les travaux techniques, sur les voyages qui vont découvrir d’autres contrés qui vont nourrir l’idée d’un ailleurs meilleur. Cette idée allait surtout prendre place dans les œuvres littéraires et c’est cette idée de l’ailleurs qui allait donnée naissance à des courants littéraires.
Ce courant littérature est né vers la fin du XVIIIème siècle. C’est un courant littéraire en réaction contre le nationalisme des philosophes. Il prône le retour de la sensibilité et de l’émotion. Le sentiment apparait plus important que la raison. Des écrivains préromantiques se mettent au centre de leurs écrits. Ils employaient le ‘’ je’’ (à travers les confessions autobiographiques, les romans par lettres... etc.) parmi eux on peut citer : Jean Jacques Rousseau ; Bernardin de Saint. Pierre, André Chénier …
Le terme romantisme est suffisamment floue pour designer l’ensemble des aspirations nouvelles qui se font jour dans l’ordre intellectuel et artistiques pendant la première moitié du siècle. On peut définir superficiellement le romantisme comme le triomphe de la sensibilité et de l’imagination, de l’exaltation du moi et le bout du lyrisme personnel, le désir de communier avec la nature, l’affirmation du principe de liberté en art. Le c’assissisme parmi les auteurs de ce courant, nous pouvons citer : Victor Hugo, Alfred de Musset, Château Briand, Lamartine etc.
Exemple : Balzac, Flaubert.
Il est surtout une critique littéraire poétique en réaction contre le naturalisme entre autre. L’importance n’est le réel mais ce qu’on découvre derrière ce réel. La poésie devient donc un art de la suggestion (allusion par la musique et le symbole). Les adeptes de ce courant sont : Charles Baudelaine, Verlaine, Ma llarmé etc. GREMINAL DE EMILE ZOLA
Ecrivain naturaliste et essayiste français : 1840 - 1902 Emile Zola n'a que sept ans quand meurt son père, ingénieur vénitien. Il vit alors dans la pauvreté. Après avoir abandonné ses études scientifiques, il devient, de 1862 à 1866, chef de publicité à la librairie Hachette, ce qui lui permet de connaître les plus grands auteurs de l'époque. Emile Zola publie son premier ouvrage, "Contes à Ninon" à l'âge de vingt-quatre ans et fréquente les républicains. Puis il se lance dans une carrière de journaliste engagé. Dans ses critiques littéraires, il prône une littérature "d'analyse" s'inspirant des méthodes scientifiques. Son premier succès, le roman "Thérèse Raquin", lui vaut de nombreuses critiques de la part de la presse. Influencé par les études de Prosper Lucas et de Charles Letourneau sur l'hérédité et la psychologie des passions, Emile Zola entreprend une immense oeuvre naturaliste, "Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire", une saga constituée de romans réalistes et "scientifiques". Ce projet l'occupera pendant un quart de siècle. Chacune des oeuvres des "Rougon-Macquart", préparée par une enquête détaillée, montre l'affrontement des forces naturelles, soumises aux circonstances et à l'environnement social, qui gouvernent le destin des personnages. Et ceci quel que soit leur milieu d'origine : Paris populaire, courtisanes, capitalisme, mineurs, paysans... C'est le septième roman de la série, "L'assommoir" (1877), chef d'œuvre du roman noir qui lui apporte la célébrité. Dans "Germinal" (1885), il dépeint le monde ouvrier comme jamais il ne l'avait été auparavant et décrit le déterminisme économique comme la fatalité moderne. Avec toute son ardeur combattante, son courage et le poids de sa notoriété, Emile Zola s'engage dans l'affaire Dreyfus en publiant plusieurs articles dont son célèbre "J'accuse" dans le journal "L'Aurore" du 13 janvier 1898. Il est très critiqué par les nationalistes et le procès qui s'en suit l'oblige à s'exiler pendant un an en Angleterre. A l'issue des "Les Rougon-Macquart", il veut montrer qu'il ne sait pas uniquement peindre les tares de la société. Séduit par les idées socialistes, il souhaite proposer des remèdes sous la forme d'une vision prophétique du devenir de l'homme dans ses "Quatre Evangiles : "Fécondité", "Travail", "Vérité". Le quatrième, "Justice", vient d'être commencé, lorsqu'il meurt "accidentellement" asphyxié dans son appartement. *Principales oeuvres (Les titres suivis de * font partie des Rougon-Macquart) :
. Vérité (1903) Source de la Biographie et de la Bibliographie : La Toupie |
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