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Poésie lyrique (4) : Les amours perdues Ô triste, triste était mon âme |
![]() | «Le diamant étincelant». Elle était l’étoile du Moulin-Rouge. La femme que j’aimais est morte | ![]() | |
![]() | «héritier fils et roi» de la famille dut subir, auprès d'une nourrice, «vingt-cinq ou vingt-six mois» de séparation, qui semblent... | ![]() | «Le Clown est seul capable de dire la vérité, même aux grands, tout comme l’a fait Molière. Je vous dévoile, modestement, les états... |
![]() | ![]() | «assomades» de la police, les procès, les emprisonnements dévoilant une triste et triviale réalité de l’époque | |
![]() | ![]() | «Le noyé le plus beau du monde», L’incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique, Grasset,... | |
![]() | «escrime» (métaphore = conversat° précieuse), rime avec «crime» V 1434-1435; «eau fade»; «triste» | ![]() | «dressent de leur pays un portrait à la fois triste et plein d’espoir», Atiq rahimi et Spôjmaï zariab |